1) Identifiez et localisez à l’échelle du territoire français l’espace présenté dans votre corpus documentaire
2) Identifiez et définissez le milieu dominant présenté dans votre corpus documentaire.
3) Quels sont les atouts et les potentialités du territoire présenté ?
4) Quels aménagements ont été réalisés par l’homme pour valoriser ce territoire ?
5) Quels sont les risques et les contraintes qui pèsent sur ce territoire ?
6) Quelles mesures de protection ou de gestion ont été mise en œuvre pour préserver ce territoire ?
7) Quels sont les différents acteurs mobilisés dans la valorisation et la protection de ce territoire ?
Une nouvelle éruption imminente ?
Un frisson parcourt la Soufrière, depuis le lundi 12 novembre 2018 (…). On le sait : une éruption majeure peut se déclencher à tout moment. Face à cette menace, des scientifiques, de mieux en mieux armés en outils de détection de la moindre activité, veillent au grain et seront en temps utile, prévenir les populations du Sud Basse-Terre les plus exposées …à priori plusieurs semaines avant que le danger soit réel. C'est la tâche des acteurs de l’OVSG-IPGP, l'Observatoire volcanologique et sismologique de La Guadeloupe - institut de physique du globe de Paris. Le fait est que les fumerolles s'échappent des cheminées du sommet. Elles sont chimiques et potentiellement dangereuses …
Sur le bord du cratère, on peut distinguer des étendues de terres nues ; l’œuvre des agents toxiques (gaz carbonique et sulfure d'hydrogène), qui brûlent la végétation, toxiques pour les humains, particulièrement les enfants en bas âge. Faute d'information et de signalétique, le tout public peut se promener au sommet du volcan. Ils sont 200 000 à le faire, chaque année. Une fréquentation plus que problématique. L'intoxication dépend de l'orientation du vent, la dispersion des substances dangereuses et du bon sens des badauds.
Ronan Ponnet, « Soufrière : respecter un périmètre de sécurité ? », Guadeloupe première, 14 novembre 2018